Après un article lors du lancement du Prezi en français sur le site Le Monde.fr.

Mais aussi une interview du president de Prezi, Peter Avrai sur Frenchweb (qui au passage à utiliser des séquences vidéos de certaines des réalisations Prezi de Prezcreation).

Voir la vidéo sur frenchweb

 

 

Aujourd’hui le Figaro.fr fait un article sur les atouts de Prezi, mais aussi sont investissement auprès du gouvernement américain et Obama pour l’utilisation de Prezi auprès de l’éducation américaine.

Les 3 fondateurs de Prezi sur Prezcreation agence de communication Prezi

Lancée en 2009, Prezi propose un logiciel de présentation en ligne qui veut remplacer le PowerPoint dans les entreprises et les salles de classe.

Peter Arvai en est persuadé: «lorsque l’on se souvient de quelque chose, ce n’est jamais sous la forme d’une liste.» Pour illustrer ses propos, l’homme d’affaires demande généralement à ses interlocuteurs de lui décrire ce qu’ils possèdent dans leur cuisine. «Lorsque vous vous rappelez de votre maison, vous n’ordonnez pas les objets les uns en dessous des autres», explique-t-il ensuite. «Vous zoomez sur un élément. Puis vous revenez en arrière pour avoir une vue d’ensemble, et ainsi de suite.»

L’image plutôt que le texte

C’est de ce constat qu’est né Prezi, un logiciel de présentation qui espère mettre fin au règne de PowerPoint dans les entreprises et les universités. La start-up a été créée à Budapest en 2009 par Peter Arvai, Adam Somlai-Fischer et Peter Halacsy. «Lorsque l’on présente quelque chose à un public, nous pensons que l’agencement dans l’espace est aussi important que son aspect visuel», décrit Peter Arvai, le PDG de l’entreprise. Sur Prezi, les utilisateur peuvent créer des présentations qui sont ensuite stockées en ligne. Elles se distinguent par leur design soigné et par une navigation originale, loin du format en diapositives auquel les internautes sont habitués. Prezi fait la part belle à l’image plutôt qu’au texte. «Si on se contente de lire ses notes, ça ne sert à rien de les montrer à son public», tranche Peter Arvai.

Lire l’article sur le figaro.fr